Résumé Gazhell
« Je suis le Roi sans être le méritant de mes privilèges.… »
Dans cette ultime Confession, Vincent Blénet dévoile son Je(u). Né pour être aimé, L’Aimé, il a pourtant chevauché ses Géhennes sans relâche, comme un cow-boy de rodéo électrique dans les flammes du ring médiatique.
Chute après chute, il s’est relevé en souriant, ensanglanté du sang honni de ses victimes, ceux qui ont tout misé sur le paraître et crachent sans pitié sur l’Être de feu, seul rescapé de l’Amour. Son Verbe tranchant ne les a pas épargnés.
Gazhell(e), c’est sa rencontre avec l’Amour. Amour tarifé bien souvent, mais Amour pur pour l’errant. Amour des Mots comme des Êtres, masculins et féminins, Amour de la Chute éternelle et grisante qui met l’esprit en Feu. Le Bien, le Mal, le noir et le blanc, l’ombre ou la lumière, l’Enfer (Hell) ou le Paradis…
L’Archimandrite cherche encore sa voie. Il « triche avec les règlements célestes… », « arpente les Abbayes au son des clochers », « poursuit l’éternité où sa Chute l’entraîne…», mais « Dieu que cette fille est jolie ».
Sait-il qu’il a trouvé le Graal ? Quelle que soit la forme qu’il se plaît à revêtir pour mieux nous rendre sa recherche éprouvante, l’Amour est la Force unique et il l’a enlacée.
Paix à son Âme.
Sur son Arbre de vie, Vincent Blénet a accroché de nombreux fruits, acides et explosifs, gorgés de bruit et de fureur, de Rouge et de Noir. À maturité. Un chemin unique pour un être exceptionnel.
Marie Mary
Le livre est illustré par Catherine Meylan.
L’auteur Vincent Blénet
La vie de Vincent a basculé brutalement à l’âge de 16 ans.
À cet âge de l’enfance – celle qui commence avec l’école – il a vécu des traumatismes et des douleurs qui en ont fait un être tourmenté, écorché, marqué à vif par d’ineffaçables souffrances morales.
Il y a bien eu, à cette période de la vie où l’enfant tangue entre deux mondes et que l’on nomme l’adolescence, de petits signes, de ces « bizarreries » mises au compte des « teen » et dont je me reproche encore de n’en pas avoir décelé l’importance et la gravité.
Tout cela, ajouté à des repères masculins mal vécus, a contribué sans doute à développer la maladie dont il souffre, cette bipolarité qui se manifeste par une schizophrénie qui lui a littéralement « volé » son adolescence.
Aujourd’hui Vincent renaît à travers l’écriture, sa catharsis.
Vincent est un auteur et ami exceptionnel que j admire beaucoup, de par sa force et son mental, sa plume est douce malgré ce côté obscur qui fais de lui un être unique. Découvrait le …vous ne le regretterai pas ?